L’homme d’affaires financier basé en Suisse, Alain Duménil, a mené une vie professionnelle, avec de nombreux succès. Après avoir débuté sa carrière dans le secteur bancaire, il s’est tourné vers l’immobilier haut de gamme, puis s’est lancé dans le monde du luxe et de la haute couture (il a possédé la marque Smalto pendant un certain temps), et a continué à forger de solides amitiés politiques dans le processus. Sur la droite. Aujourd’hui, il travaille dans le domaine de la sous-traitance aéronautique, au travers du groupe AD Industrie.
La mise en vente de SMALTO par Alain Dumenil
L’homme d’affaires Alain Duménil a pris la décision de vendre le costume Smalto qu’il avait acheté au fondateur Francesco Smalto en 1962, et il a publié le magazine Challenges sur son site Web. Aujourd’hui, Alain Duménil, qui a vendu les bijoux Poiray l’année dernière, contrôle 65% du capital de Smalto, le reste est coté sur le marché libre. Une banque d’investissement doit être désignée en janvier pour gérer le transfert.
Créée pour ses tenues sur-mesure, Smalto, saluée par de nombreux chefs d’État (dont François Mitterrand), a célébré un chiffre d’affaires annuel de 28 millions d’euros (+ 10%) et un résultat d’environ 500 000 euros au cours du dernier exercice. Le groupe propose environ 1 000 costumes personnalisés par an dans son usine de Paris, au prix d’entrée de 7 000 euros, et identifie également le groupe de prêt-à-porter, qui représente 70% des ventes totales du groupe.
Depuis l’acquisition de la marque par Thierry le Gueric en 2008, la marque a retrouvé sa rentabilité, portée à un niveau supérieur et abandonné ses collections en Chine pour ramener la production en France et en Italie. D’une manière ironique, les groupes chinois d’aujourd’hui seront très intéressés par la possession de Smalto … mais les Européens Kering, LVMH et Richemont peuvent aussi s’incliner sur la question, ce qui leur permettra de renforcer leur leadership
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